Fireman / Pompier allumeur
Je vis à côté des Buttes Chaumont. Chaque matin, je promène mon chien dans ce parc. Très souvent vers 8h45, les pompiers de Paris arrivent dans le parc pour faire leur footing quotidien. La plupart de ces mecs sont beaux, certains très sexy dans leur tenue de sport. Ils sont en survêtement et T-shirt, ou simplement en short très court. J’aime particulièrement ceux qui portent des shorts en lycra. Il arrive parfois que certains pompiers enlèvent leur survêtement et restent en slip le temps de passer leur short. Je profite alors de cette occasion pour mater la forme de leurs fesses musclées avec une fossette sur le côté. Mon regard glisse alors sur leur paquet. J'aimerais tant jouer la grosse salope avec tous ces mâles.
Depuis quelques jours, j'épiais un beau pompier en T-shirt bleu foncé et short lycra bleu ciel. Ce jeune mec croisait mon regard plus d’une fois et cela n’avait pas l’air de le déplaire. J’étais un peu gêné car j’étais sûr qu’il a deviné que je suis un pédé. Un matin, je suis arrivé plus tard que d’habitude et les pompiers étaient déjà en train de faire des étirements. Je pouvais voir les boules entre leurs cuisses bien visibles surtout pour ceux qui portaient des shorts en lycra. Mon fameux pompier était présent. Je m'approchais du groupe avec mon chien et j’entendais ce pompier dire à ses collègues tout en s'étirant (son érection bien visible dans son short moulant) :
- « Qu’est-ce qu’il fait chaud ici. Je suis tout en rut. Je sauterais sur tout ce qui bouge. J’ai envie de me faire sucer à fond. »
Ses collègues ont rigolé et moi je m’étais senti très excité. J'avais une forte gaule, mon gland me faisait mal tant il était gonflé. Je continuais mon chemin et me demandant s’il passerait à l'acte ou c'était juste un allumeur de première.
Ce matin est un jour extraordinaire pour ma chronique sexuelle. Malgré la pluie, je suis allé quand même me promener au parc avec mon chien. Le camion de pompiers n’est pas là. Je suis déçu. Quinze minutes plus tard, je vois courir mes pompiers, et lui, il est là parmi ses collègues. Je continue gaiement ma route et me retourne pour admirer son beau derrière que je boufferais sans hésitation. Il s'arrête pour attacher son lacet. Je vois sa raie à travers son short en lycra mouillé. Il prend tout son temps alors que ses collègues sont déjà hors de vue. Il se retourne vivement et court vers moi. Le battement de mon cœur s’accélère. Je crois qu'il va m’injurier. J'ai eu très peur. Non, il me sourit et me tend un bout de papier, puis il s’en va.
Je m'appelle xxx et je sais que tu as envie de te faire un pompier. Je suis en perm tout à l'heure, appelle-moi au 06............
J’appelle au bout d’une heure. Il a une voix grave. Il est prêt à venir maintenant.
Il est arrivé vingt minutes après. Il me dit qu’il n’est pas un pédé mais il paraît que les pédales sucent bien. Tout en me regardant, il prend ma main et la pose sur son paquet. Il bande dur. Il ouvre son jeans. Je vois un slip en lycra. Il me dit que cette matière l’excite énormément. Le gars est effectivement en train de mouiller son slip tant il est excité ! Et moi aussi.
Il m’allonge sur le canapé et frotte son paquet humide contre mon visage. Je lèche son slip que je mouille abondamment avec ma salive. Je l'entends pousser des grognements de plaisir. Il enlève son pull. Il a des superbes pecs musclés avec des poils répartis sur tout le corps, et des petits tétons que je sucerais avec plaisir.
Il me dit :
- « tu bouffes les rondelles ? »
Je lui réponds :
- « humm »
Il s'accroupit sur ma tête et j'écarte un pan de son slip. Je mets des bons coups de langue dans sa raie et je sens dégager une odeur de mâle. Je pelote en même temps son sac à couilles qui pend lourdement. Il retire son slip et s'assoit sur le canapé jambes écartées en touchant langoureusement sa pine (pas grande mais grosse). Il prend ma tête avec ses deux mains et plonge son engin directement dans ma bouche. J’ai du mal à sucer tant sa bite est grosse. J’ai l’impression de déboîter ma mâchoire.
- « Oh putain c'est super bon ! T’es une bonne pute. » me dit-il.
Et moi, entre ses cuisses, je continue à me branler. Je lui ai donné tellement de plaisir qu’il a joui dans ma bouche en râlant très fort.
- « Tu suces vraiment bien. Mon collègue avait raison, les pédales sucent bien. » m’avoue-t-il.
- « Tu es là ce soir vers 22h ? »
Je lui réponds que oui et qu’il peut revenir ce soir et d’autres soirs. Je saurais m’occuper de lui.
Il est effectivement revenu vers minuit mais avec un collègue, un grand brun plutôt musclé. La porte à peine refermée, son collègue baisse mon short et ses doigts tripotent mon trou du cul.
- « Tu veux qu'on te baise ? Tu as envie de te prendre un gros coup de bite ? » me glisse-t-il.
Je me sens tout chaud. Provocateur, je lui réponds :
- « Un gros coup de bite pourquoi ? T’as une grosse bite, tous les mecs disent ça, mais elle est souvent normale. »
Il ouvre sa braguette, me regarde et sourit :
- « ça te va ? »
J’ai les yeux braqués sur son gros calibre.
Il se retourne vers son collègue et lui dit :
- « Mets-toi sur le canapé pour qu'il puisse te sucer et moi je l'encule. »
Je commence à sucer mon pompier favori en écartant mes jambes. Son collègue crache dans sa main et enduit sa salive sur la capote. Il écarte mes fesses et enfonce son dard dans mon cul sans douceur. ça fait un mal de chien. Au bout de quelques minutes de va-et-vient vigoureux, il invite mon pompier à m’enculer à son tour. Il préfère nous mater pendant qu’il se branle. Nous avons tous les trois éjaculé presque en même temps. Ils ont pris une douche et sont partis en me demandant s'ils pouvaient revenir. Devinez ma réponse.
Depuis quelques jours, j'épiais un beau pompier en T-shirt bleu foncé et short lycra bleu ciel. Ce jeune mec croisait mon regard plus d’une fois et cela n’avait pas l’air de le déplaire. J’étais un peu gêné car j’étais sûr qu’il a deviné que je suis un pédé. Un matin, je suis arrivé plus tard que d’habitude et les pompiers étaient déjà en train de faire des étirements. Je pouvais voir les boules entre leurs cuisses bien visibles surtout pour ceux qui portaient des shorts en lycra. Mon fameux pompier était présent. Je m'approchais du groupe avec mon chien et j’entendais ce pompier dire à ses collègues tout en s'étirant (son érection bien visible dans son short moulant) :
- « Qu’est-ce qu’il fait chaud ici. Je suis tout en rut. Je sauterais sur tout ce qui bouge. J’ai envie de me faire sucer à fond. »
Ses collègues ont rigolé et moi je m’étais senti très excité. J'avais une forte gaule, mon gland me faisait mal tant il était gonflé. Je continuais mon chemin et me demandant s’il passerait à l'acte ou c'était juste un allumeur de première.
Ce matin est un jour extraordinaire pour ma chronique sexuelle. Malgré la pluie, je suis allé quand même me promener au parc avec mon chien. Le camion de pompiers n’est pas là. Je suis déçu. Quinze minutes plus tard, je vois courir mes pompiers, et lui, il est là parmi ses collègues. Je continue gaiement ma route et me retourne pour admirer son beau derrière que je boufferais sans hésitation. Il s'arrête pour attacher son lacet. Je vois sa raie à travers son short en lycra mouillé. Il prend tout son temps alors que ses collègues sont déjà hors de vue. Il se retourne vivement et court vers moi. Le battement de mon cœur s’accélère. Je crois qu'il va m’injurier. J'ai eu très peur. Non, il me sourit et me tend un bout de papier, puis il s’en va.
Je m'appelle xxx et je sais que tu as envie de te faire un pompier. Je suis en perm tout à l'heure, appelle-moi au 06............
J’appelle au bout d’une heure. Il a une voix grave. Il est prêt à venir maintenant.
Il est arrivé vingt minutes après. Il me dit qu’il n’est pas un pédé mais il paraît que les pédales sucent bien. Tout en me regardant, il prend ma main et la pose sur son paquet. Il bande dur. Il ouvre son jeans. Je vois un slip en lycra. Il me dit que cette matière l’excite énormément. Le gars est effectivement en train de mouiller son slip tant il est excité ! Et moi aussi.
Il m’allonge sur le canapé et frotte son paquet humide contre mon visage. Je lèche son slip que je mouille abondamment avec ma salive. Je l'entends pousser des grognements de plaisir. Il enlève son pull. Il a des superbes pecs musclés avec des poils répartis sur tout le corps, et des petits tétons que je sucerais avec plaisir.
Il me dit :
- « tu bouffes les rondelles ? »
Je lui réponds :
- « humm »
Il s'accroupit sur ma tête et j'écarte un pan de son slip. Je mets des bons coups de langue dans sa raie et je sens dégager une odeur de mâle. Je pelote en même temps son sac à couilles qui pend lourdement. Il retire son slip et s'assoit sur le canapé jambes écartées en touchant langoureusement sa pine (pas grande mais grosse). Il prend ma tête avec ses deux mains et plonge son engin directement dans ma bouche. J’ai du mal à sucer tant sa bite est grosse. J’ai l’impression de déboîter ma mâchoire.
- « Oh putain c'est super bon ! T’es une bonne pute. » me dit-il.
Et moi, entre ses cuisses, je continue à me branler. Je lui ai donné tellement de plaisir qu’il a joui dans ma bouche en râlant très fort.
- « Tu suces vraiment bien. Mon collègue avait raison, les pédales sucent bien. » m’avoue-t-il.
- « Tu es là ce soir vers 22h ? »
Je lui réponds que oui et qu’il peut revenir ce soir et d’autres soirs. Je saurais m’occuper de lui.
Il est effectivement revenu vers minuit mais avec un collègue, un grand brun plutôt musclé. La porte à peine refermée, son collègue baisse mon short et ses doigts tripotent mon trou du cul.
- « Tu veux qu'on te baise ? Tu as envie de te prendre un gros coup de bite ? » me glisse-t-il.
Je me sens tout chaud. Provocateur, je lui réponds :
- « Un gros coup de bite pourquoi ? T’as une grosse bite, tous les mecs disent ça, mais elle est souvent normale. »
Il ouvre sa braguette, me regarde et sourit :
- « ça te va ? »
J’ai les yeux braqués sur son gros calibre.
Il se retourne vers son collègue et lui dit :
- « Mets-toi sur le canapé pour qu'il puisse te sucer et moi je l'encule. »
Je commence à sucer mon pompier favori en écartant mes jambes. Son collègue crache dans sa main et enduit sa salive sur la capote. Il écarte mes fesses et enfonce son dard dans mon cul sans douceur. ça fait un mal de chien. Au bout de quelques minutes de va-et-vient vigoureux, il invite mon pompier à m’enculer à son tour. Il préfère nous mater pendant qu’il se branle. Nous avons tous les trois éjaculé presque en même temps. Ils ont pris une douche et sont partis en me demandant s'ils pouvaient revenir. Devinez ma réponse.
Histoire trouvée sur la toile et réadaptée par Brutos Eros.
4 commentaires:
EXCELLENT.
Très bien écrit, ça va directement à l'essentiel sans essayer de faire des figures de style maladroites.
Il reste plus qu'à convaincre tous les pompiers de faire ce genre de choses...
Bah oui, on y croyait presquue, sauf que ce matin il ne pleuvait pas aux Buttes Chaumont, je sais, j'y passe un jour sur 2 vers 8h15!
Très bonne, cette histoire, super chaude!
ca va
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