jeudi 27 mars 2008

At your disposal / Un homme de ménage



Cette histoire est vraie; seuls les noms ont été changés.

Un beau samedi matin de juillet, je me lève, il est 9h. Je me fais un bon café et prends mon journal culturel hebdomadaire. Je vais immédiatement voir les petites annonces pour voir si l'annonce que j'ai fait paraître est publiée section services:

Homme pour ménage. Petits commerces, bureaux
ou domiciles. 5 ans d'expérience. Pour plus d'infos,
contactez David: (514) XXX-XXXX.

Mon annonce est bien publiée, il ne reste qu'à attendre les appels.

Je lis le journal, finis mon café et je saute dans la douche. J'y reste environ 30 minutes, question de relaxer. Quand je sors de la douche, le téléphone sonne, je réponds:

— Oui, bonjour?

— Bonjour, puis-je parler à David s'il vous plaît.

— Moi-même.

— Je m'appelle Maxime, j'appelle au sujet de l'annonce dans le journal.

— Oui ok. Vous avez besoin de quelqu'un pour le ménage à votre bureau ou votre domicile?

— Pour mon logement, me dit-il.

— Ok, quelle grandeur votre logement?

Il me dit qu'il habite un grand loft de 2000 pieds carrés sur deux étages sur le plateau Mont-Royal à Montréal. Je lui explique que je fais le ménage régulier comme l'époussetage, salle de bain, balayeuse, balai, laver les planchers, et plus, selon les clients. Il me demande mon tarif. Je lui réponds qu'il faudrait que je voie les lieux pour pouvoir faire une évaluation. Il me demande si je peux passer l'après-midi même. Je lui dis oui:

— Vers 14h.

Il me donne son adresse et son numéro de téléphone.

À 14h, je me présente à l'adresse que Maxime m'a donnée. Je sonne, on ouvre. Je monte au loft et je frappe à la porte. On ouvre.

— Je suis David de l'annonce, me présentai-je.

— Moi c'est Maxime, répondit-il en me serrant la main.

Maxime est un bel homme 6', début trentaine, cheveux noirs. Il porte un petit goaty au menton, allure masculine, de beaux yeux marron.

Nous allons dans la cuisine pour jaser, il m'offre un verre.

— De l'eau s'il vous plaît, lui dis-je.

On jase du ménage que je devrai faire et on visite le loft pour que je puisse faire une évaluation. Au premier plancher, il y a la cuisine, le salon, un petit bureau, un boudoir et une salle d'eau avec toilette, lavabo, bain, laveuse et sécheuse. Le loft est ouvert, sauf la salle d'eau. À l'étage, il y a une chambre à coucher donnant sur une salle de bain avec un lavabo, une toilette et une douche immense avec trois jets d'eau latéraux et robinet dans le bas de la douche et d'une lingerie. De l'autre côté de la chambre, il y a une salle d'ordinateur. Au-dessus du lit, je remarque une peinture représentant deux hommes nus de profil qui s'embrassent langoureusement.

Nous revenons à la cuisine, il y a un autre homme d'assis à la table. Maxime se penche vers lui, il lui donne un baiser sur la bouche en lui disant: "Allo mon amour! Déjà de retour!" et il nous présente:

— Voici Charles, mon chum; Charles c'est David, le gars de l'annonce pour le ménage.

— Ça va faire du bien d'avoir quelqu'un pour le ménage ici, dit Charles.

Maxime s'excuse pour ne pas m'avoir précisé qu'il était gay et me dit:

— J'espère que tu n'y vois pas d'inconvénients?

— Non, non! Je ne suis pas homophobe, lui dis-je sans préciser que je suis gay moi-même.

Charles semble un peu plus âgé, fin trentaine, un peu plus grand, châtain, beau bonhomme lui aussi. Je leur dis que je charge 16$/l'heure et que je prévois cinq à six heures pour l'entretien régulier du loft, étant donné qu'il y a beaucoup de bibelots et que ce sera plus long s’il y a des extras.

— Quels genres d'extras? demande alors Charles.

Maxime se mit à rire. Je repris, comme si je n'avais pas compris l'allusion de Charles;

— Poêle, frigo, vitres, murs etc, etc...

On convient que c'est eux qui fournissent les produits et que je passerai tous les lundis puisqu'ils sont en congé. Je leur souhaite bon week-end et je leur dis à lundi matin en les quittant.

Le lundi suivant, à 7h, je me présente chez Maxime et Charles. Je sonne; c'est Charles qui répond.

— Bonjour Charles!

— Salut David! me dit-il en ajoutant que Maxime est encore couché car il a travaillé tard sur l'ordinateur hier soir.

— Pas de problème, je vais commencer par le bas pour ne pas le réveiller, répondis-je.

Charles me montre où trouver les produits, je le remercie et commence l'époussetage dans le salon, le bureau, le boudoir et la cuisine. Ensuite, je vais faire la salle de bain. J'avais presque terminé la salle de bain en bas, il me restait seulement les miroirs quand je m'aperçus qu'il n'y avait plus de Windex dans la bouteille. Je le fis remarquer à Charles qui me dit d'aller voir dans le bas de la lingerie de la salle de bain en haut; il y a toujours des produits en réserve là.

Je monte à l'étage et pour aller dans la salle de bain, je dois passer par la chambre. Maxime est couché sur le ventre, il est nu, le drap qui le couvrait est descendu sur ses chevilles, ce qui me permet de voir ses belles fesses charnues. Je le regarde quelques secondes et je sens gonfler mon membre entre mes jambes. Je me dirige vers la salle de bain pour prendre le Windex dans la lingerie et je ressors de la salle de bain. Maxime s'est retourné sur le dos et je peux voir son beau sexe de 8" ou 9", ce qui a pour effet de me faire bander dur et comme je ne porte pas de sous-vêtements sous mon short blanc, on peut voir une belle bosse devant.

Je redescends et Charles remarque la bosse dans mes short. Il me sourit et je lui rends son sourire avant de retourner dans la salle de bain. Je termine les miroirs. Mon érection a passée, je ressors de la salle de bain. Charles m'offre un café que j'accepte volontiers.

Pendant qu'on jase, Charles et moi, Maxime se lève. Il est en bobette blanche moulante qui laisse voir la forme de sa grosse queue. En me voyant, il s'excuse!

— J'avais oublié que tu venais ce matin, je vais aller mettre ma robe de chambre! dit-il et il remonte à sa chambre.

Il redescend aussitôt vêtu de sa robe de chambre. On boit un café en jasant un peu et Charles dit à Maxime qu'il va aller à la piscine faire quelque longueurs avant de faire quelques courses pour le souper. Il prend son sac de sport et quitte aussitôt. Moi, je finis mon café et je dis à Maxime que je vais aller faire le deuxième étage. Je prends les produits et les torchons et je monte au deuxième.

Je m'en vais dans la salle de bain pour commencer la douche. J'enlève mes chaussettes, j'entre dans la douche, je vaporise avec le désinfectant et je frotte avec le torchon les parois de la douches. J'ouvre l'eau pour rincer la douche en pensant que c'était par le robinet du bas que l'eau jaillirait, mais grande erreur, le bouton sur le robinet était levé et l'eau sortit par la douche et les trois jets latéraux. Le temps que je réagisse, j'étais trempé de bord en bord. Je lâchai un juron qu'a entendu Maxime en bas. Il monta aussitôt dans la chambre pour savoir ce qui m'arrivait. Quand il me vit tout mouillé, il éclata de rire.

— Je pense que j'ai eu un problème avec la douche, dis-je.

Maxime me passa une serviette pour m'essuyer et me dit d'enlever mes vêtements pour qu'il les mette à la sécheuse. Je me retournai et enlevai mon linge, mis la serviette autour de ma taille et donnai mes vêtements à Maxime. Je continuai de faire la salle de bain seulement vêtu de la serviette. Je finis la douche et commençai la toilette. En me penchant pour laver la toilette, ma serviette tomba. Je ne la remontais pas et je lavai la toilette. Durant ce temps, Maxime était remonté dans la chambre et me vit nu devant la toilette. Il enleva sa robe de chambre et me regardait en se caressant la queue.

Je me lève pour laver le miroir et je vis par la réflexion que Maxime se caressait. Je ramasse la serviette pour la remettre mais Maxime s'approche de moi et me dit:

— Tu n'es pas obligé de la remettre. Tu est pas mal beau à poil!

Et il m'embrassa ardemment. Nos langues se croisèrent longuement et il m'attira vers le lit. Il s'assoit sur le bord du lit se mit à me sucer la bite dans un mouvement de va-et-vient lent puis de plus en plus vite. Je mis ma main derrière sa tête et appuyai dessus pour qu'il prenne ma queue bien à fond; il a failli s'étouffer. Puis je le couchai sur le lit m'installai en 69. Nous nous suçâmes mutuellement un long moment, il passait de ma verge à l'anus et me mangeant les couilles au passage. Il sortit un tube de lube et me lubrifia le cul avec ses doigts, mettant jusqu'à trois doigts. Ensuite il sortit un condom, l'enfila et me coucha sur le dos.

Il mit mes jambes sur ses épaules et me pénétra lentement. Je sentais son gros "batte" de 9" me pousser sur la prostate; c'était très jouissant. Maxime me prit la queue entre ses mains et me masturbait en même temps. J'étais au septième ciel! Il se déhanchait de plus en plus vite et moi je sentais monter la sève. Je lui dis que j'allais jouir. Il arrêta son déhanchement, enleva son condom et on se repositionna en 69. Nous nous suçâmes ainsi jusqu'à ce que nous expulsion nos jus que nous prîmes chacun en bouche. Puis on se retourna et s'embrassa pour mélanger nos semences. Hummm... ce fut un délice!

Nous prîmes une douche. Maxime alla chercher mes vêtements, je me rhabillai et finis le ménage. Charles arriva, je terminais le ménage. Je leur souhaitai bonne fin de journée et partis.

J'avais déjà hâte au lundi suivant!

source : gai-eros.org

Aucun commentaire: