jeudi 13 décembre 2007

The Shower / La douche par Serge (5/5)



Je relâchai la pression et ma bouche descendit au creux de son genou. Je remontai délicatement le long de sa cuisse pendant que l’autre main faisait pareil sur l’autre cuisse. Ma langue s’approcha tout doucement de ses bourses, je les pris en bouche délicatement et m’amusais avec lui durant quelques minutes encore en l’entendant soupirer de plaisir. J’arrêtai pour m’occuper maintenant de sa bite. Je partis de la base. Ma langue remonta tout doucement jusqu’en haut de ce monstre de plaisir. Je jouai autour de son prépuce, et je sentis sa bite frémir, se contracter… il n’en pouvait plus. Et soudain, sans le prévenir, je la gobai tout entière dans la bouche. Il ne put retenir un cri de surprise. Je lui fis le plus belle pompe possible et l’entendis crier son plaisir. Mais je ne voulus pas qu’il vienne de suite, alors quand je le sentis se contracter, j’arrêtai le supplice.

Je redescendis vers son trou d’amour tout en le couchant sur le côté, puis sur le ventre. Je lui écartai les jambes ainsi que ces deux belles fesses et découvris ce puits d’amour qui ne demandait qu’à découvrir le plaisir. Ma langue remonta et descendit le long de sa raie, et je passai tout autour de sa rondelle, histoire de sentir son plaisir. Il écarta les jambes autant qu’il le pouvait, et quand ma langue s’arrêta sur sa rondelle, il fut parcouru de frissons. Ma langue continua son exploration et s’aventura à l’intérieur. Je sentis sa rondelle s’ouvrir sous mes coups de langue. Il me supplia d’arrêter le supplice

- « Prends-moi, maintenant, je n’en peux plus, j’ai envie de te sentir en moi .»

Je le retournai sur le dos, me mis à califourchon sur lui, en position 69. Il comprit de suite où je voulais en venir, et il ouvrit la bouche. Je lui enfournai ma bite et pendant ce temps-là, je ramenai ses jambes vers moi, pour pouvoir continuer à lui lécher la rondelle. J’en profitai pour introduire un, puis deux doigts. Sa bouche se referma plus fermement sur mon chibre à chaque fois, mais il n’arrêta pas pour autant de me sucer.

Je conservai la position quelques minutes et comme je sentais qu’il fatiguait, je le retournai à nouveau et le fis se mettre à quatre pattes. Il avait toujours les mains attachées dans le dos. Je me repositionnai derrière lui, et avec ma queue encapuchonnée, je glissai délicatement le long de sa raie. À chaque fois que je passai près de sa rondelle, je le sentais frémir, je sentais qu’il voulait que je l’empale. Au bout de quelques instants de ce supplice, et me suppliant toujours de m’enfoncer en lui, j’accédai à ses désirs. Je stoppai ma bite près de ce petit orifice qui ne demandait qu’à s’ouvrir. Et je m’enfonçai tout doucement jusqu’à ce que, par un coup de rein de sa part, il s’empala entièrement. Les vannes étaient ouvertes.

Ce ne furent plus des gémissements, mais carrément des cris de plaisir qui sortirent de sa gorge. Et il en redemanda, à croire que son corps n’était que jouissance. Je continuai à le pilonner tout en lui pinçant le bout des seins. Je sentis que le plaisir n’allait pas être long à venir pour lui comme pour moi, alors je le pris par les hanches et le pilonnai avec ferveur… et dans un même cri de délivrance, nous jouîmes tous les deux. Je n’eus même pas à le masturber.

Nos deux corps en sueur étaient posés l’un sur l’autre. Je m’écartai délicatement pour le laisser respirer, en profitai pour lui détacher les mains. Il se retourna sur le dos, et là je pus voir son visage, rayonnant, les yeux encore dans les vagues du plaisir.



Extraits d'une nouvelle écrite par Serge et modifiée par Brutos Eros

3 commentaires:

João Baptista a dit…

I love to be cudle in my lover after the sex

Anonyme a dit…

Belle histoire bien narrée, cher Brutos-Eros !
La description est claire et fort expressive !
No comment, dirait notre Gainsbarre !
Tu m'as appris une expression que je ne connaissais pas: "puits d'amour" : c'est joli !
Cheers, Bises à toi,
Antinous

Anonyme a dit…

Enfin, "puits d'amour" ou "trou d'amour" ! :-o)
Je trouve que "puits" est plus "cool" que "trou"!
Cheers, Bises à toi,
Antinous