Tension

Cette série de photographies qui évoquent un corps en tension fait écho au roman de l’écrivan espagnol José Carlos Somoza, Clara et la pénombre (Acte Sud ,2003).

Dans un « futur dangereusement proche, la représentation des corps ne fait plus recette au sein du marché de l’art, qui cote désormais des toiles humaines. Signées par de grands maîtres, elles sont louées, vendues, manipulées, livrées à tous les regards, à tous les fantasmes. (…) À la manière de Rembrandt, José Carlos Somoza dépeint de violents clairs-obscurs. Les déviances de l’art font écho aux dérives de nos sociétés, et les contrastes de ce magistral jeu de lumière conduisent chacun à mesurer le prix du beau à l’aune de la valeur du vivant. » (Acte Sud).

J’imagine ses sculptures vivantes chez moi, pouvoir les apprécier et les caresser.


This series of photographs evokes to me the body in tension. It reminds of an excellent thriller The Art of Murder by the Spanish writer José Carlos Somoza.

« Imagine a world where the most prized artworks are paintings where the model for each masterpiece is the also canvas. Body art taken to its furthest extreme, if you will. Artworks are exhibited, before being sold or “rented” for weeks or months for millions and taken to the purchaser's home, where the models are required to hold their poses for hours on end. » (Laura Franz).

I could easily imagine exhibiting these body art sculptures at home, watching and caressing them.